Pascalis

BREVET de PASCALIS Ulysse d’octobre 1866.

C’est une application de l’électricité aux Miroirs à alouettes.

Désolé pour la mauvaise qualité de ce schéma

(Nous sommes désolé par la mauvaise qualité de ce schéma)

Les miroirs destinés à l’attraction des alouettes à portées de fusil du chasseur sont généralement composés d’une surface de forme particulière.

Forme reconnue la plus convenable et recouverte de points brillants produits surtout avec des fractions de miroirs incrustés et enchâssés dans cette surface. De la le nom de miroir à alouettes.

Le brillant de la surface sans fractions de miroir peut être suffisant pour produire son effet d’attraction sur ces oiseaux. Le miroir doit être animé d’un mouvement de rotation alternatif de droite et de gauche et gauche à droite.

On donnait ce mouvement d’abord à l’aide d’un cordon enroulé sur l’axe tournant est mu par le chasseur ou un aide.

Ensuite on appliqua un mouvement d’horlogerie à remontage mais le bruit causé par le fonctionnement de ce mécanisme effraye l’alouette.

Quelquefois aussi son action s’arrêt au moment ou l’oiseau s’approche et il faut le remonter.

L’invention objet de cette demande de brevet a pour but d’imprimé au miroir le mouvement alternatif de rotation sans aide vivant, sans mécanisme bruyant et pendant une durée limitée par la volonté seule du chasseur.

Elle consiste à employer un courant électrique avec interrupteur traversant des bobines ou électro aimants qui agissent sur une armature articulée ou barreau en fer doux susceptible de s’éloigner ou de se rapprocher de l’électro aimant.

 Si l’interrupteur laisse établir le courant, l’armature se rapproche des électro-aimants qui l’attirent.

Si l’interrupteur interposant sa partie isolante rompt, le courant d’aimantation cesse et l’armature devient libre de céder à toute autre impulsion, jusqu’à ce que le courant rétabli, elle soit de nouveau attirée.