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Commentaire sur le Miroir (Aubé & Rolland) avec la tête ou chapeau est de forme Alpes.

Commentaire sur le Miroir (Aubé & Rolland) avec la tête ou chapeau est de forme Alpes.

Le corps du pied est magnifiquement tourné en un seul morceau de fruitier. Le tourillon est en buis. Le chapeau noirci fait bien ressortir les facettes miroir. L’assemblage chapeau est tourillon est conique.

Commentaire sur le miroir Aubé & Rolland avec une tête de forme Lorraine.

Commentaire sur le miroir Aubé & Rolland avec une tête de forme Lorraine.

Miroir A.R (Marque Déposé)

pour démontrer que ce miroir est imposant, la photo propose une comparaison visuelle avec un pied classique de miroir à alouettes.

Dans le tarif album l’illustration de ce miroir (A.R) propose un ressort de rappel. Evitant l’arrêt du miroir. Quant au miroir de ma collection, il n’a pas ce ressort de rappel mais il est équipé de son tourillon en cuivre à double enroulement.

Comme le démontre la photo, le tourillon est maintenu sur son axe à l’aide d’un piton qui vient ce logé dans une gorge prévue à cet effet. Le but de ce piton et d’éviter que le tourillon sorte de son axe en tournant. Ce qui évitait que la ficelle vienne se coincer entre le pivot et le tourillon. On peut remarquer que la douille métallique qui protège la pointe du pied est imposante également.

Ce miroir commercialisé par la Manufacture d’Armes VERNEY- CARRON Frères à St ETIENNE (Loire). Ce qui est un gage de qualité
Jean Yves BIRABENT
Concepteur

Commentaire sur le Pied de Rechange pour l’année 1937.

Commentaire sur le Pied de Rechange pour l’année 1937.

Ce pied est démontable en trois parties. Le pivot en cuivre est maintenu par une tige en acier et sa douille en bois, le pique métallique est peint en noir.

Heureuse initiative prise par la « MF » dans ce Tarif Album de 1937 concernant les pieds de rechanges.

Car la partie basse du pied à bien été souvent malmenée par des utilisateurs peut précautionneux.

Bien souvent le miroir était planté en terre en frappant directement sur la tête, ou sur le pivot, le résultat était catastrophique.

Le bon usage voulait que l’on sépare la partie basse du pied en la dévissant et ensuite on l’a plantée en terre en frappant sur la vis métallique prévue à cet effet.

La partie du pied qui était enterrée était munie d’un pique en fer pour protéger la partie pointue du bois et facilité par la même occasion l’entrée dans la terre.

C’est seulement après avoir réalisée cette opération que l’on pouvait assembler simplement la partie haute du pied en la vissant.

Un certain nombre d’utilisateur du miroir ont été découragé sommes tout par cet assemblage relativement simple.

Sieurs PERIES-DECHEVAILLES

Tête du Miroir à Alouettes des Sieurs PERIES-DECHEVAILLES

BREVET N° 220 du 15/05/1794.

Cette tête en forme de « croissant ou fève » s’inspire des têtes primitives utilisées pour la chasse aux filets. Ce modèle de tête et courant. Il a été copiée et recopiée à cette époque. On la retrouve bien des années plus tard (80 années) chez la Maison Robillard en 1878.  Les glaces sont mastiquées dans des évidements prévus à cet effet. (Réalisés à l’aide du ciseau à bois, selon la forme de la glace à insérer). Parfois ces emplacements sont réalisés à l’aide d’une fraise circulaire, ce qui est plus facile à effectuer lorsque l’on dispose d’un matériel adapté.

Victor GASSIN

Maison Victor GASSIN & E. CHANTRON.

Ancienne Manufacture Française d’articles de Chasse de Carpentras.

Eblouissante tête de Miroir à alouettes réversible ayant la possibilité d’être utilisé soit avec les facettes réfléchissantes pour faire venir les alouettes de plus ou moins loin ou sans facette par le simple retournement de sa tête.